「 PROMOTION 2026 」
RODOLPHE CONGÉ et GAËL BARON
Session de travail avec les étudiants de 1ère année
> Du 20 mai au 29 juin 2024 – Présentation publique les 27 et 28 juin 2024
Avec cet atelier, nous proposons d’explorer par la langue de Marivaux les possibilités de jeux qui s’offrent aux actrices et acteurs. En suivant la dramaturgie d’une pièce entière, nous explorerons les rapports entre la parole et le corps pris dans les situations. Une rhétorique du corps, de la phrase, autant qu’une attention à la sensation. C’est le passage entre ces différents plans d’expressivité contenus dans Marivaux qui nous donnent l’opportunité d’étudier le jeu dans un large spectre et de renforcer la connaissance de chacun dans son rapport à la scène.
Gaël BARON
Après des études commencées au Conservatoire de Région d’Angers avec Jean Guichard, et poursuivies avec Christian Rist, Nelly Borgeaud, et Jean Dautremay, Gaël Baron devient, de 1989 à 1991, au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris, élève de Madeleine Marion, puis de Pierre Vial, et enfin de Stuart Seide.
Dès sa sortie du Conservatoire, il entame un riche parcours avec Stanislas Nordey, avec qui il joue Pasolini, Koltès, Wyspianski, ou encore, récemment, Leonora Miano.
A partir de 1999 il engage un travail suivi avec Bruno Meyssat.
Il joue aussi, entre autres, sous la direction de Stéphanie Loïk, Claude Régy, Eric Didry, Jean-Pierre Vincent, Gislaine Drahy, Françoise Coupat, Jean-Michel Rivinoff, Sarah Chaumette, Daniel Jeanneteau, Jean-François Sivadier, Roland Auzet, Gildas Milin, Cédric Gourmelon, Gérard Watkins (Suivez-moi, La Tour, Lost Replay, Hamlet …)
D’Avril 2016 à Juillet 2018, il prend part, aux côtés de Gwenael Morin, aux deux dernières saisons du Théâtre Permanent au Théâtre du Point du Jour à Lyon.
En 2023, il a rejoint l’équipe de Simon Gauchet, pour La grande marée.
Il a aussi mis en scène et joué adieu, Institut Benjamenta…, d’après le roman de Robert Walser. Ainsi que, en 2008, avec Valérie Dréville, Charlotte Clamens, J.F. Sivadier, et Nicolas Bouchaud, Partage de midi de Paul Claudel.
Il a également créé Le Kabuki derrière la porte, sur l’idée et en compagnie de Laurent Ziserman.
© crédit photo : La seconde surprise de l’amour, Jean-Louis Fernandez