「 PROMOTION 2026 」
Olivier MARTIN-SALVAN
Session de travail avec les étudiants de 2ème année
> Du 14 au 18 octobre 2024
Pendant cette semaine de travail avec les élèves de 2ème année, nous allons faire un travail technique de l’acteur et son rapport au présent. Ce travail se fera également autour des monologues de Marion Aubert.
Olivier MARTIN-SALVAN
Olivier Martin-Salvan, comédien et metteur en scène, s’est formé à l’école Claude Mathieu (2001 – 2004). Il est artiste associé au Centquatre-Paris et membre du Phalanstère d’artistes du Centre National pour la Création Adaptée de Morlaix. Catalyseur d’équipes, il conçoit en collectif des spectacles depuis 2008 tout en restant interprète, notamment : Ô Carmen, opéra clownesque, m.s Nicolas Vial (2008) ; Pantagruel, m.s Benjamin Lazar (2013) ; Religieuse à la fraise, avec Kaori Ito (2014) ; UBU, création collective (2015) ; [ʒaklin] Jacqueline, écrits d’Art Brut, avec Philippe Foch (2019).
En 2023, il met en scène Péplum médiéval, un spectacle pour quinze interprètes, parmi lesquels sept comédien·ne·s en situation de handicap (troupe Catalyse).
Il tisse d’étroites complicités avec de nombreux artistes, notamment Pierre Guillois, avec qui il co-écrit et interprète Bigre, mélo burlesque (2014), Molière de la meilleure comédie en 2017. En 2021, ils conçoivent ensemble Les gros patinent bien, cabaret de carton, Molière du théâtre public en 2022. Il est proche de Clédat & Petitpierre qui signent la scénographie et les costumes de ses trois dernières créations. Ils conçoivent ensemble en 2018 un solo sur mesure, Panique !. Il joue également dans les créations de Valère Novarina entre 2007 et 2012 (L’Atelier Volant, Le Vrai Sang, L’Acte inconnu). Complice de l’autrice Marion Aubert, il joue dans Orgueil, poursuite et décapitation (2010), m.s Marion Guerrero.
En 2023, il rencontre le jeune auteur et metteur en scène Valérian Guillaume et interprète son texte Nul si découvert. Il confie la même année à Marion Aubert l’écriture de son prochain spectacle en duo avec Thomas Blanchard.
© photos Simon Gosselin